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Le retour. Eh ben vous savez quoi, j’y ai pensé toute la journée… vous retrouver est un vrai plaisir ! Vous me manquez… trois semaines sans vous, ailleurs, loin de chez moi, à Paris. Une belle aventure que je suis en train d’essayer de vous raconter dans un autre billet. Mais pour ce soir, c’est les EEV. C’est parti ! By Zenopia et the postman.

Fatigue : Ca va, un peu de mal à dormir depuis que je suis rentrée chez moi lundi soir, mais ça va ! 

Humeur : des hauts et des bas depuis mon retour, mais rien de grave, c’est juste que rentrer quand on à passé 15 jours formidables de rencontres, d’expos etc. C’est pas forcément simple, on se retrouve un peu dans le vide et c’est bien connu la conscience n’aime pas le vide ! 

Cond phys : J’ai repris la piscine aujourd’hui et franchement c’était le top, je commençais à me sentir lourde et pas bien ! 

Estomac : Carottes râpées et fondue savoyarde.

Esprit : Il est en voyage, au Maroc, au Togo. 

Boulot : Je reprends doucement. 

Msg perso : Merci pour ce joli RV, j’aurais trop aimé mangé chez toi, ça sera pour une prochaine fois / Merci à ceux qui m’ont hébergé pendant mon séjour à Paris. 

Penser à : faire avancer le sujet du boulot.

Avis perso : nos échecs ont du sens, le jeu c’est de le trouver.

Super grand loulou : on a passé quelques jours à Paris ensemble, c’était chouette et il s’éclate à Valenciennes dans sa super école, donc tout va bien !  

Amitiés : un vrai bonheur toutes ces rencontres à Paris, les anciens, les nouveaux, ils étaient tous là ! J’ai vu un ami chaque jours, parfois 2. Trop heureuse…

Sorties et culture : trop pour toutes les citer. Miro au grand palais, Cité millénaire à l’institut du monde arabe, Lucrèce Borgia à la Comédie française, Bohémiam rapsodie au ciné, le dernier Christian Bobin offert par mon fiston…

Envie de : Préparer mes voyages : Maroc et surtout Togo en janvier, trouver le temps d’écrire…

Essentiel : Ressentir l’amour en soi, pas l’amour pour une personne, mais l’amour en générale.

Courses : un peu mais j’étais dans le gaz et j’ai oublié l’essentiel